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LA PREMIERE AVENTURE DE PUTE DE TAYA
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C’était la veille du 11 novembre, à cause du week-end annoncé, Paris s’était quelque peu vidé de ses habitants.
Il avait beaucoup plu sur l’agglomération parisienne, et j’avais pris rendez-vous via mon adresse coquine sur internet, avec un admirateur belge, avec qui je correspondais depuis peu en échangeant photos et conseils, et qui devait passer le week-end à Paris pour m’emmener au restaurant et aller finir la soirée dans un club…
Il m’a téléphoné, s’excusant de devoir décommander notre rendez-vous… Un coup de blues m’accabla.
J’étais seule, un peu déprimée de ce contre-temps, je n’avais pas envie de relancer au dernier moment un ami, ou de draguer un inconnu sur le net pour meubler ma soirée ; j’ai donc décidé de concrétiser l’une de mes pulsions les plus anciennes et les plus secrètes, que je n’avais jamais encore osé assumer en plein Paris : me prostituer en pleine rue, offrir mon corps à des inconnus de rencontre !
Je me suis préparée avec soin, et déjà beaucoup d’excitation.Un bustier de satin noir, des bas dentelles de même teinte, un slip brésilien en dentelle, et un caraco de satin, rehaussé d’une fine dentelle assortie.
Avec ces dessous très sexys, j’ai choisi une tenue plutôt BCBG : chemisier de soie uni vert bronze, et ensemble Chanel en chiné vert. Lourds pendentifs en or aux oreilles, collier, bracelets, bagues et, petite touche sensuelle, j’ai enfilé des mi-gants de dentelles noire.
Talons aiguille, maquillage, parfum. J’ai brossé ma perruque rousse, noué un carré Hermès sur ma tête, enfilé une courte veste de fourrure léopard, pris mon sac et mes clés de voiture, et suis descendue au parking chercher mon véhicule.
J’ai tourné longtemps dans Paris sans vraiment trouver l’occasion – et surtout l’endroit – pour faire mes premiers pas de putain sur l’asphalte des trottoirs parisiens…Trop de monde vers Pigalle et la place Clichy ; trop dangereux le bois de Boulogne ; trop piétonnière la rue Saint Denis… Finalement je suis arrivée dans ce petit espace vert qui sépare le périphérique du boulevard des Maréchaux, entre la porte Champerret et la porte d’Asnières…
Déclic dans ma tête : quelques routiers, visiblement fatigués par la route et bloqués par l’interdiction de circuler un jour férié, rangeaient leurs camions pour passer la nuit dans cet endroit tranquille.J’ai garé ma voiture, et me suis lancée dans l’aventure…
Sous mon parapluie, je me suis mise à remonter lentement sur le trottoir, le long alignement des poids-lourds. Dans certaines cabines, les rideaux étaient déjà tirés et leurs occupants certainement déjà endormis.Mais je suis passée devant un camion dont le chauffeur vérifiait l’attache de sa remorque.
Le camion portait une plaque belge, ce qui me fit penser à l’homme qui m’avait posé un lapin pour ce soir…
Le chauffeur avait une quarantaine d’année, blond, d’aspect simple et soigné.Il m’a regardée, m’a souri, et demandé si je me promenais ou bien si… Je me suis arrêtée à côté de lui, j’ai souri sous mon parapluie et lui ai lancé « Cela dépend… »
Il m’a aussitôt invité à monter dans la cabine de son camion pour éviter de discuter dehors.Je m’assieds sur le siège de droite, loin de lui qui se hisse sur le siège conducteur, séparés par un troisième fauteuil.
Il se glisse sur ce siège du milieu et me demande
« Vous prenez combien ? »
Je n’avais guère réfléchi à la chose et je lui réponds, un peu au hasard « Vingt euros pour une pipe ; cinquante pour faire l’amour… »
Il sourit, me dit qu’il trouve ce prix raisonnable, mais je crois bon de lui préciser que je suis un « travesti » avec un sexe de garçon…
Il me regarde plus attentivement, me demande « On peut voir ? » et je remonte lentement ma jupe de tailleur, lui faisant découvrir mes soieries noires.La bosse qui tend mon slip brésilien témoigne de la véracité de mes dires ; il avance alors sa main et pose délicatement celle-ci sur mon sexe qui tend la soie noire.
Je frémis de tout mon corps, comme si une décharge électrique m’avait soudain tétanisée. Sa caresse se fait plus tendre, et mon sexe se met aussitôt à prendre des dispositions assez exceptionnelles …
pour une femme !
L’homme s’est rapproché de moi et passant son bras droit autour de mes épaules, m’attire à lui pour accentuer sa caresse.« J’aime bien les garçons, j’en prends souvent en stop …
et dans ma cabine »
et d’un geste il tire le lourd rideau qui me révèle la cabine et le matelas attenant. « J’ai envie de toi » continue t-il et il entreprend de tirer un autre rideau qui court le long de son pare-brise et nous isole soudain des regards extérieurs.
« Prépares-toi, je me déshabille et je t’attends dans la couchette » me dit-il en enjambant le siège et en rejoignant le petit lit.
Je dénoue mon foulard, ôte ma veste de fourrure et ma veste de tailleur, déboutonne lentement mon chemisier puis fait glisser ma jupe à mes pieds.
« Tu veux que je garde mes dessous ? » « Bien sur ma chérie, c’est encore plus excitant… »
J’ouvre le rideau et me présente devant lui avec mes dessous de soie et satin noirs, « Superbe ! » murmure-t-il en m’aidant à le rejoindre.Il est nu, et son excitation commence à se manifester de façon très voyante. Il m’attire à lui, prenant mon visage à deux mains et après avoir soigneusement tiré le rideau nous isolant de la cabine, me demande s’il peut m’embrasser. « Oui mon chéri, tu es trop chou et moi, trop excitée ! »
Il prend mon visage entre ses mains et colle ses lèvres aux miennes.
Sa langue vient chercher la mienne, l’attirant, s’enroulant autour, soudant un baiser d’une exquise volupté entre nos deux visages.
Puis ses mains commencent à me caresser à travers le satiné de mes soieries intimes.Il sent bon, une eau de toilette un peu poivrée et musquée.
Il est musclé et surtout, merveilleusement caressant.
Ma bouche vient quasi naturellement se poser au creux de son nombril, puis ma langue, s’étirant doucement sur sa peau tendue, accroche son sexe dressé.
Je m’applique à lui procurer alors une fellation exceptionnelle, alternant effets de lèvres et de langue sur sa hampe et son méat, effleurements et succions, caresses et mordillement de ses bourses. J’enduis de salive une colonne de chair qui prend des proportions telles que j’en suis effrayée lorsque je pense à la prochaine destination de ce superbe sexe…
L’homme halète maintenant au rythme de ma caresse buccale.Ses reins s’agitent spasmodiquement tandis que ma bouche s’active sensuellement dans son entre-cuisses.
Lorsque je sens son excitation monter, je dégage un moment mes lèvres et lui murmure « Vas-y mon chéri ! laisse toi aller, crache tout dans ma gorge, je veux boire ta liqueur, je veux avaler ta semence ! »L’homme a une longue plainte et à peine ai-je ré-enfourné son engin entre mes joues, qu’un jet puissant, propulse une liqueur âcre et brûlante dans ma bouche. Des rasades à n’en plus finir emplissent mon palais de cette chaude laitance… J’aspire goulûment la moindre goutte perlant à la pointe de son gland, puis, me redressant à genoux face à lui, je lui montre que j’avale avec régal le fruit de son plaisir…
Il m’attire alors à lui, et vient chercher avec sa langue, au fond de la mienne, l’âcre goût de son propre suc !
Je suis de plus en plus excitée, et j’ai peur qu’il ne débande sans me prendre.Aussi m’évertué-je aussitôt par des caresses et des baisers sensuels sur son torse et la pointe de ses seins, à lui rendre rapidement son excitation. Il ronronne sous mes baisers,
« Whaou ! Tu es une vraie courtisane toi au moins ! »
murmure-t-il à mon oreille, tandis que je sens sous mes doigts gantés de dentelle, sa vigueur revenir très rapidement.
Mes doigts caressent sa hampe qui durcit à nouveau, mes lèvres reviennent se poser sur les siennes, et ce sont ses mains fortes qui alors m’empoignent aux épaules pour m’allonger sur la couchette.Ses doigts agrippent ma culotte satinée et la font glisser le long de mes jambes gainées de nylon noir. Ses doigts caressent à présent ma croupe ; je me cambre sous cette caresse.
Ecartant légèrement mes cuisses, je laisse ses mains tâter à la fois mes petites bourses lovées et mon « petit temple d’amour »…
« Attends, j’ai du gel »lui dis-je. Et, attrapant dans mon sac un tube de lubrifiant, j’en pose une noix au bord de mon anus.
« Laisse-moi faire me dit-il tendrement, et ses doigts se mettent à masser pour faire doucement pénétrer la crème au bord de ma petite « chatte »…
L’homme modifie alors ma position. Il me retourne, pour qu’allongée à plat ventre, il glisse sous mon ventre un oreiller, ce qui a pour effet de rehausser mes fesses vers lui.Je le sens s’agenouiller entre mes cuisses, puis poser au bord de mon anus, son gland qu’il a recouvert d’un préservatif vaseliné.
Il s’accroche alors à mes hanches et s’enfonce soudain en moi, intromission grandement facilitée par le gel et la vaseline de sa capote…Il avance lentement, mais inexorablement.
Sa progression me coupe le souffle ; il est au fond de moi. C’est alors qu’il se dégage lentement, laissant juste son gland enfoncé en moi ; puis il le ré-introduit de nouveau, m’arrachant un premier cri de plaisir.
Sa pénétration est maintenant doucement saccadée de petits mouvements d’avant en arrière ; je sens son gland me frotter intérieurement, et le plaisir monte lentement en moi comme une vague terrible et irrésistible.Je halète, je me mords les lèvres pour ne pas hurler, laissant à peine échapper de petits cris et feulements de plaisir, quand je sens une pénétration plus profonde toucher ma prostate et déclencher soudain en moi un orgasme brutal. Tandis que ses doigts caressent ma petite queue dressée, j’éclate soudain en sanglots sur la banquette, tandis que mon sexe lance dans sa main de longues saccades de foutre tiède. C’est à ce moment qu’il a lui –même sa jouissance, s’empalant à fond en moi, en gémissant langoureusement, il éjacule brutalement en se soudant totalement à moi.
Enlacés, nous tombons exténués sur la couchette, tandis que je sens sa semence sortir de son préservatif encore fiché entre mes fesses, et couler le long de mes cuisses ouvertes, et encore prises par son pieu.
Je ne reprends mes esprits qu’après de longues minutes. L’homme s’est redressé et me regarde en souriant. «Tu as aimé ? » « Humm ! C’était divin mon chéri »ais-je la force de murmurer…
Il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement, tendrement « J’ai adoré ce moment avec toi ; J’adorerai te revoir lorsque je passe par Paris : tu es sublime »Je lui rends ses baisers en lui glissant «Avec plaisir ; tu es un amant merveilleux ! »
Puis j’attrape mon sac et lui griffonne mon numéro de portable et de mail sur un bristol où je marque Taya. Il prend son porte-feuilles dans le pantalon plié devant lui et m’offre un billet de cinquante euros « Cela ira ? »
Je l’embrasse et lui murmure « C’est parfait ! Merci mon chéri »
Je reste blottie encore un long moment dans ses bras, puis je me glisse sur le siège passager et commence à me rhabiller.
Après une dernière étreinte et un dernier baiser, je m’extirpe de la cabine du camion.Je rejoins en claudiquant légèrement ma voiture.
Mes fesses encore poisseuses, me rappellent le formidable plaisir que nous avons connu ensemble…
Je rentre chez moi dormir, mes sens encore tout tourneboulés.
Jamais je n’aurais cru vivre une telle expérience dans de si délicieuses conditions ! Ce fut à la fois si intense et si excitant, que j’ai déjà envie de recommencer un jour prochain !