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MA SORTIE A VILLEFRANCHE SUR SAONE
Ce soir, je vais a villefranche sur saone 69400, vers le plan d eau derriere le camping.
J'ai juste un body nylon, des bas resilles bottes collier de chienne,Maquillage provocant (pute, quoi).
Il est 23h, je rentre dans ma voiture et en route. Après 20minutes de trajet , j' arrive sur le parking routier, quelques camions, Quelques voitures tournent mais personne dehors.
Je descends de la voiture et me dirige vers l'arrêt de bus et j'attends, les voitures repassent, ralentissent et repartent. Le manège continue, c'est souvent comme ça. Une camionette noire s'arrête un peu plus loin, un homme descend la cinquantaine, allure sportive, un visage très marqué et froid. Il s'approche de moi :
- je cherche une grosse salope, je crois que je l'ai trouvée. Si tu aimes le sado-maso, suis-moi ! Dit-il d'un ton très autoritaire,
Il repart vers sa camionnette sans se retourner. Un peu abasourdie, j'hésite un bref instant et le suis. Il me fait monter à l'arrière avec un petit sourire satisfait.
Et là! surprise! le véhicule est aménagé sado-maso, sur les parois capitonnées sont accroché des martinets, menottes, cordes et autres sangles. Au milieu se trouve une espèce de banc à trois pieds avec deux supports pour les genoux une poutre pour s'allonger, elle penche vers l'avant le tout bardé de sangle.
- Ça te plais ? dit-il en me caressant les seins .
- Assez! dis-je en essayant de lui caresser le sexe, il me bloque la main :
- Tu ne touches pas et tu fais uniquement ce que je te demande, sinon tu sors !
- Pardon dis-je en baissant les yeux.
tu mets cette cagoule.
C'est une cagoule en cuir avec fermeture pour la bouche et les yeux, je m'exécute. Il me fait asseoir et entreprend de me poser un Ball stretcher d'au moins 500g, il y a un petit anneau sur le dessus. Puis il me pose des pinces chinoises sur les tétons, que j'ai tout durs comme il fait frais. Ça le fait rire et il tire un coup sec sur les pinces, ça me fait mal et effet immédiat je bande. Il s'en rend compte :
- On va bien s'entendre si tu réagis aussi bien, dit-il en tirant un peu plus sur les pinces.
- Installe-toi, il me montre le banc.
Je m'agenouille sur les deux emplacement prévus à cet effet et m'allonge sur la poutre en dessous il y a deux poignées de caque côté qui tombe juste sous mes mains, je les empoigne.
- Je vais t'attacher la dessus et on va pouvoir commencer.
A l'aide des sangles qui équipe le banc il m'attache fermement les mollets, les cuisses, le torse et enfin les mains sur les deux poignées. Il passe sous le banc, m'attrape les couilles par le ball stretcher et passe un lacet dans l'anneau et le fixe au sol et tend fermement le tout puis il fait de même avec les pinces qui, du coup, me martyrise les tétons et donc je bande très fort.
- Je vois que tu aimes ce que je te fais, c'est bien, je vais prendre un sacré panard.
Il se relève, passe devant moi et ferme l'ouverture des yeux de la cagoule. Je l'entends prendre quelque chose accrocher au mur. La position sur ce banc est particulière, elle m'oblige à avoir les fesses bien offertes. A peine le temps de penser à ma position et le premier coup de martinet s'abat juste entre mes fesses en plein sur ma petite chatte, les lanières s'enroule bien le long de ma raie et viennent me lécher les couilles, occasionnant une délicieuse brûlure. Les coups s'enchaînent, à droite, à gauche et au milieu, c'est bon. J'ai les fesses en feu. Il change de matériel, vient se mettre sur ma gauche, le coup s'abat sur ma hanche droite les lanières s'enroulent et viennent me cingler le sexe, une fois, deux fois, les coups s'enchaînent, je gémis de douleur, de plaisir je ne sais pas trop. Il le sent et continue, revient devant moi et s'acharne sur mon cul, mes couilles.Il sort sa queue et sans ménagement me l'enfourne dans la bouche, me tient la tête d'une main et de l'autre continue de me fouetter.
D'un coup tout s'arrête, puis je sens un liquide me couler sur les fesses, il me masse les fesses, les couilles, la bite. Ses doigts s'introduisent dans mon cul, deux, trois, quatre doigts, il vont et viennent fermement, habilement, je bande. Il s'éloigne et je l'entends déplacer quelque chose de lourd, tout se passe derrière moi. Je sens ce qui pourrait ressembler à un gode c'est assez massif. Une machine se met en route doucement, le gode avance inexorablement et s'enfonce en moi, il est vraiment gros et me dilate bien le cul. Je l'entends s'affairer, il avance la machine pour que le gode aille plus profondément et accélère le mouvement. Je sens ses mains courir sur mon ventre et s'attarder sur mes couilles et ma bite, il me branle d'une main pendant que l'autre me masse les burnes, je bande comme un âne.
- Putain ça te plais ma salope, on va y passer la nuit, tu vas recevoir sérieux.
Il détache les pinces à seins, j'ai les tétons hyper sensible. Il s'amuse avec, les titille, les pince. Plus il me sent frémir, plus il s'amuse avec, puis il remet les pinces mais se ne sont pas les mêmes, elles sont plus lourdes et sert plus fort. Elles se mettent à vibrer. Génial, c'est trop bon ces vibrations dans les tétons, ce gode qui va et vient bien profondément, je commence tortiller mon cul pour accentuer la sensation de pénétration je ne veux surtout pas que ça s'arrête ! Mon tortionnaire en a bien conscience :
- Ne t'en fait pas grosse pétasse tu en as pour la nuit. On a vingt minutes de trajet et puis tu vas être honorer comme tu le mérites. Mais d'abord je vais te chauffer un peu les fesses.
Il reprend, le martinet les coups pleuvent à droite, à gauche et surtout sur la bite ça brûle, ça cingle, c'est bon. Il s'arrête et se met au volant, on démarre et là, le pied, les pinces à seins sont plus lourdes certes mais en liberté et au fil de la route, elles battent dans tout les sens, s'entrechoquent et me martyrise délicieusement les seins. Je bouge mon cul au rythme de la machine, il ne manque pas grand chose pour que je jouisse.
Mon bourreau pianote sur son téléphone :
- Omar, salut je t'amène une putain de salope si vous pouviez venir vous en occuper ça me plairait assez.
Je n'ai pas entendu la réponse mais commence à deviné ce qui m'attend, j'en frétille déjà.maître revient vers moi, arrête la machine et enlève le gode, je pousse un petit cri de dépit.
- T'inquiètes, la suite va te plaire ou je n'ai pas tout compris.
Quelqu'un frappe sur le fourgon :
- Oh mon ami, elle est où ta pute ! Comment on procède, si elle est affamée, un devant, un derrière. Non ?
- Viens voir et fait comme tu veux, elle est à vous mais ne la cassez pas, je n'ai pas fini avec elle.
Mon maître retourne au volant et deux mecs montent, ils passent de chaque côté, me palpent les fesses, les cuisses, les hanches puis deux mains m'écartent les fesses :
- Tu as vu comme elle est ouverte, il nous l'a bien travaillé, j'en connais quelques uns qui vont se régaler, ils pleurent toujours qu'elles sont trop serrées. Regardes-moi ce cul j'y met le poing c'est sûr.
Ses doigts commencent leurs investigations, quatre doigts pour commencer, je m'agite et gémis.
- Ça lui plaît, continue pendant qu'elle me suce.
Il me prend la tête à deux mains et m'enfourne une queue épaisse et dure dans la bouche pendant que son ami force mon petit cul affamé avec son poing pas trop gros mais agile. Il me pénètre doucement puis se retire et replonge aussitôt, ainsi de suite, de plus en plus profond. L'autre me défonce la bouche, j'aimerai bien bouger, les toucher mais je suis limité par mes liens. Une main me caresse la queue puis me branle.
- Tu verrais comme elle bande cette pute, elle aime ce qu'on lui fait, finit ton affaire et appelle les autres.
- Ma belle, les mecs qui arrivent vont te défoncer comme jamais, tu reviendras toutes les nuits, tu seras accroc.Ton erreur ça a été de venir ce soir. Je fini mon fist et tu seras à eux.
Sur ces douces paroles,il continu son va et vient et s'enfonce chaque fois un peu plus loin, je sens son poing dans mon ventre. Son pote s'active dans la bouche, je le sens se tendre et durcir,il me bloque la tête et m'enfonce son pieux tout fond de la gorge et crache son jus, j'avale tout, le lèche, le suce jusqu'à la dernière goutte pendant que le poing se retire doucement. Je reste là pantelant attendant la suite. Mon maître revient me met sa queue dans la bouche et reprends le martinet, c'est reparti mais cette fois il insiste bien entre les fesses pour que ça me cingle bien les couilles.
Deux black d'au moins 130kg en short et torse nu pénètre dans la camionnette.
- Je vous la laisse, je la maintenais en condition, amusez-vous bien.
Il descend et laisse les deux black opérer. Le premier fait tomber le short et ouvre la cagoule pour que je vois à quoi j'ai affaire. Il est devant moi à poil immense et magnifique une queue énorme, le gode était petit à côté. Son pote à côté est tout aussi canon et surtout même genre de bite je mouille déjà. J'ai cette splendide bite devant moi et ne suis pas sûr de pouvoir la sucer. Elle s'approche, je la lèche goulûment, il me l'enfonce doucement dans la bouche, je ne peux rien faire juste ouvrir la bouche et le laisser rentrer lentement.
- Va la baiser pendant que je lui prend la bouche, regardes si elle bande toujours !
L'autre passe derrière moi me tape la rondelle avec son chibre, j'essaie de lui tendre mon cul comme je peux. Il se marre et me pénètre d'un coup, s'allonge sur moi avec de violent coup de reins et me défonce allègrement. Il m’attrape la queue et constate que je bande aussi dur que lui et le dit à son pote.
- Il nous en à trouver une bonne ce soir, elle va pas pleurer qu'elle n'en peut plus tout de suite .
- C'est sûr,regarde comme elle accepte ma queue. Vas-y continue défonce la bien !
Je râle sous ces coups de boutoir, il me plaque bien sur la poutre, je sens sa queue dans mon ventre. Il s'active de plus en plus vite, je le sens bien c'est bon ! Un dernier coup de reins, un gros râle, il se tend et explose en moi. Son copain se précipite et le vire carrément. Sans plus de ménagement il s'enfonce en moi pendant que l'autre m'amène sa queue à lécher, ce que je fais avec plaisir, c'est plus facile il bande moins et j'ai envie de la remercier. Pendant ce temps le pote s'affaire pour mon plus grand plaisir mais il s'arrête repasse devant, j'ai pas fini de sucer son pote qu'il me couvre de sperme. Drôle de fin.
Mon maître revient, s'empresse de refermer la cagoule.
- Tu t'en sort bien, ils avaient l'air content, c'est bien. Je vais m'occuper de toi en attendant les deux suivant.
Il rouvre la cagoule et me montre un énorme plug.
- Tu vas adorer dit-il en se marrant
Il passe derrière moi, me badigeonne de gel et entreprend de faire rentrer ce plug, il faut dire que je suis bien dilater. Doucement il me force, lentement je sens mon cul s'ouvrir de plus en plus et d'un coup le cap est franchi avec un cri de douleur. Puis il me met une boule bâillon qu'il attache à la sangle qui me maintient le torse plaqué à la poutre de façon à me tenir la tête en arrière. Il accroche deux gros poids aux deux pinces à seins et remet le vibreur en route, génial. Un dernier poids qu'il fixe au le balls stretcher qu'il à préalablement détacher. Il revient s'occuper du plug doucement il le retire et le bloque dès qu'il va être expulsé j'ai le cul complètement dilaté ça fait mal mais j'aime bien, il le renfonce. Je le vois chercher quelque chose dans un petit sac, c'est du poppers amsterdam, il me met la fiole sous le nez j’inhale profondément la chaleur m’envahit doucement il est retourné après le plug et le retire doucement, le laisse sortir et aussitôt le renfonce sans délicatesse, je n'ai pas le temps de respirer, il le retire, le poppers aidant je suis bien détendu et accompagne le mouvement quand il sent que je prends vraiment mon pied il s'arrête, le plug bien place il l'attache au câble du bâillon et me détache complètement et referme la cagoule. Il me fait lever, ce n'est pas facile, j'ai la tête en arrière, les poids accrochés à mes seins et mes couilles, un plug dans le cul que je dois garder et je n'y vois rien.
Mon maître est bon, il m'aide et me fait sortir du fourgon. Je ne sais pas où on est, je pense que ce soit sur le parking du camping, mais je balise un peu. J'entends des types parler mais je ne comprends pas. Il me fait appuyer contre la camionnette les mains en l'air. J'entends du monde qui s'approche. Mon bourreau est près de moi, il m'effleure avec quelque chose, je crois reconnaître le martinet mais les lanières semblent plus longues. Il me fait m'écarter du fourgon tout en gardant les mains appuyées dessus de façon à ce que les poids soit bien dans le vide. J'ai les pieds bien écartés, je suis offert aux coups de fouet. Il me fait sniffer du poppers longuement, il s'éloigne et le premier coup tombe, les lanières s'enroule autour de mon torse, cinglent mes seins, un autre coup plus bas sur les hanches et le sexe puis entre les jambes en remontant sur les couilles la bite je me tord de douleur et les poids s'agitent, je commence à gémir, des murmures parcourent les spectateurs.
- Quelqu'un pour essayer ?
J'entends des pas s'approcher.
- Elle peut se retourner, je veux voir sa queue.
- Retourne toi, avance d'un pas.
Je m’exécute sans un mot. Je suis de face, tête en arrière poitrine offerte sexe dressé. Oui je bande toujours.
- Qu'elle se mette à genoux en appuis arrière sur les mains.
- Exécution. dit mon tortionnaire
Et me voilà à genoux, pencher en arrière, les poids des seins pendent de chaque côté et me tirent bien sur le tétons.
Le premier coup s'abat en plein sur les seins puis sur ma queue et encore et encore ? Il ne frappe pas trop fort mais il es précis, il s'arrête.
-Tourne-toi, je veux ton cul.
Je me retourne et lui donne ce qu'il veut. Il se met devant moi et frappe bien dans l'axe, les lanières tombent sur la base du plug et remontent jusqu'à mes burnes, je gémis, me tortille et les poids me martyrise.
- On va passer à autre chose dit mon maître.
Il me fait relever, m'enlève tous les poids et les pinces à seins puis passe derrière moi et se plaque contre moi, je sens sa queue, il bande. Il m'attrape les tétons et les pinces fortement, ils sont terriblement sensibles, je cris plus de surprise que de douleur et commence à me frotter lascivement contre sa queue il continue, pince de plus en plus fort, je frotte contre lui je cherche une résistance pour appuyer sur le plug j'ai besoin d'être défoncé. Il a tout compris et m'a amené là où il voulait, que je le supplie de me défoncer.Amenez la table et attachez la dessus sur le dos jambes relevées.
Aussitôt dit, aussitôt fait, les mecs sont aussi affamés que moi. Je me retrouve sur le dos, mains attachées au dessus de la tête, jambes relevées et attachées cuisse contre le corps entre temps ils ont détaché le plug ce qui me libère la tête. La table est étudiée pour, pas très large, j'ai les fesses juste au bord la tête dans le vide et elle est à bonne hauteur pour la suite. Ce cher maître entreprend de retirer le plug en le bloquant bien avant qu'il ne sorte. Pendant ce temps un gars me fait sniffer du poppers et quand je suis bien défoncé il me pince les tétons si fort que je ne peux m'empêcher de crier, une main se glisse entre mes cuisses et me masse les couilles et la bite. Le poppers fait bien sont effet je commence à râler et a essayer de bouger mon cul offert. Mon maître en profite pour enfoncer le plug d'un coup et le retire aussitôt complètement puis le remet ainsi de suite.
- Allez-y faites vous sucer, après on la fistera.
Pas besoin de le dire deux fois. Le gars qui s'occupe de mes tétons me fourre sa bite dans la bouche et commence à me pilonner la gorge tout en continuant le travail des seins. C'est une bonne queue, pas trop grosse, pas trop longue je peux en profiter pleinement et le plug va et vient. Je sens la belle queue se raidir, gonfler et se vider dans ma gorge. Pas le temps de savourer une autre se présente toute aussi intéressante bien que différente je savoure. Mon mec ralenti le mouvement avec le plug et doucement le retire.
-Regardez comme elle est ouverte un volontaire pour la fister ?
Un mec s'approche un gros avec des mains de bûcheron, apparemment c'est un fisteur il arrive avec ses gants et son gel. Il vire le mec que je suce et vient se placer juste devant ma bouche sort sa queue, il ne bande pas.
- Fait moi bander et je vais te faire crier ma salope, fait moi jouir et tu ne pourras plus te passer de moi. Travaillez la pendant qu'elle me suce.
Je commence à faire connaissance avec ma nouvelle copine, si elle veut bien se réveiller elle doit être belle bien épaisse, parfaite quoi. Mon gros à compris que s'il s'occupe de mes seins ça sera lui le gagnant, je commence à me tortiller, une main prend possession de mon cul, je m'empale sur cette main pendant que mon gros me masse fermement la poitrine, les hanches, s'égare sur ma bite. Je le suce consciencieusement, je joue de ma langue sur son gland. La main qui me travaille la chatte m'excite vraiment, ça doit se voir et ne pas laisser indifférent mon gros amant, dans ma bouche je sens une queue gonfler tout doucement mais sûrement.
- Détachez la, elle va pas se barrer, elle trop bien avec nous.dit le gros
Les mecs s’exécutent. Les mains libres pour peloter mon gros chéri, je m'active, je bouge, j'offre mon cul, les mains se succèdent pour le chauffer. Cette queue commence à vraiment me plaire, je lui fais de l'effet, ça m'excite, plus ça m'excite, plus je lui fais de l'effet, tout le monde est gagnant.
Elle gonfle, elle durcit, c'est un joli morceau. Doucement le gros commence à s'agiter un léger mouvement de va et vient s'installe, très agréable. Il me tire les jambes à lui, position inconfortable mais j'offre mon cul à ces coups de langue puis il me coince les cuisses sous ses bras et commence à me travailler le cul avec ses deux mains tout en me défonçant la gorge à coup de va et vient puissant je sens à sa façon de me travailler le cul qu'il n'est pas loin de jouir, je m'accroche à lui pour enfoncer cette queue un peu plus dans ma gorge, il force aussi et m'enfonce sont poing dans le cul, d'un seul coup et profondément il continue de forcer puis le retire doucement et enfonce l'autre main de la même façon et de nouveau l'autre ainsi de suite. J'ai le souffle coupé, il enlève ces mains, me relâche. Je me retrouve allongé sur la table, il m'attrape par les hanches et me tire à lui m'enfonçant un peu plus la queue dans la gorge le va et vient s’amplifie, il me lâche les hanches me prends les tétons, les pince, les tord ; Je me cambre sur la table. Il me tire de nouveau à lui me crache dans le cul, le lèche sans détails m'enfonce le poing dans le cul, l’enlève, le remet au même rythme que sa queue me pilonne la bouche puis je le sens se raidir, il est pris de tremblement, son bras s'enfonce dans mon cul pendant que sa queue gonfle, je le sens venir, il m'inonde la bouche, c'est chaud ! C'est bon ! J'adore !
Je crois qu c'est fini, mais non, il a toujours son poing dans mon cul tout en le maintenant il m'aide à m'allonger sur la table et commence un lent travail, son poing, son bras s'activent doucement, vont et viennent en rythme. Un type s'approche de la table, sort sa queue et se place devant moi, il amène ses couilles rasées au niveau de ma bouche, je m'empresse de les lécher, il m'aide et me les met dans la bouche je les léche , les suces pendant que mon gros amant s'occupe de mon cul il commence à me travailler avec son autre main, petit à petit ses doigt me pénètre. J'ai son bras et quatre doigts puis il ressort le bras et rentre l'autre ainsi de suite et de plus en plus vite, je réclame du poppers, on m'en donne, je sniffe longuement et encore une fois la chaleur m'envahit, je cherche à m'empaler sur ces deux mains, il m'aide, me force, je râle, et puis doucement je sens les deux mains rentrer alors commence le vrai travail, il sort une main la remet, sort l'autre la remet, le panard. Encore un peu de poppers, l'autre me fourre sa bite dans la bouche et se fait plaisir en jouant avec mes seins. Les autres mecs s'approchent toute queues dehors, je branle ce que je peux, j'ai que deux mains les autres se masturbent, le mec que je suçais me décharge dans la bouche et se tire. Tout ce beau monde me couvrent de jus et m'offre leurs queues pour une petite toilette.
Mon gros amant continue sont fist, il y prend beaucoup de plaisir, moi aussi. Mon maître réapparaît avec son martinet et ses pinces vibrantes, il me les pose, serre bien et commence à me fouetter, sur les seins et surtout sur la queue et les couilles. Je pose mes pieds sur le bord de la table, soulève les hanches et ondule au rythme de mon fisteur, il comprend ce que je veux et retire une main et continue avec l'autre doucement il travaille et s'enfonce un peu plus loin, je râle, j'en demande encore et encore. Mon maître prend les pinces les sert plus fort, les tords, je crie en m'empalant un peu plus sur ce bras qui accélère. Il m'enlève les pinces et me fouette les seins très fort. La douleur est forte mais tellement bonne, je commence à me masturber, mon maître me remet les pinces et joue avec. Mon fisteur accélère vraiment, il me défonce réellement, j'adore, le plaisir monte je commence a crier comme un nana qui jouit, de plus en plus fort et quand il m'enfonce sont bras jusqu'au coude, je jouis, le sperme gicle jusque sur mon visage. Je suis mort, enfin presque, quel pied. !
Le gros se retire me fait asseoir sur la table, me tire vers lui sans ménagement et me roule une pelle tout en m'attrapant la bite et les couilles qu'il serre jusqu'à ce que je gémisse, il me dit :
- Ma salope, je te défoncerai comme ça à chaque fois que je te croiserai. reviens vite !
Il s'en va, les autres sont déjà parti.
- Tu t'es régalé ma salope, t'aimes vraiment ça !
- Je ne peux pas dire le contraire, je ne me suis jamais fait fister comme ça et je ne me suis jamais fait fouetter comme ça, très bon !
- Donc tu aimes être mal traité.
Et ce disant, il m'attrape me fait mettre à genoux contre son fourgon, avec ces pieds, m'écarte les cuisses et voit que je commence à bander alors il me choppe les tétons les pince jusqu'à ce que je bande vraiment bien puis me caresse la queue avec sa semelle et la coince par terre il appui vraiment, j'ai les larmes au yeux, il me fourre sa bite dans la bouche, ne me lâche pas les tétons et me défonce brutalement la gorge, c'est terrible j'ai mal mais je bande quand même. Il enlève son pied, alors je le suce de bon cœur et quand il jouit je bande de plus belle. Bien sur il s'en rend compte.
- Attends c'est pas fini.
Il ressort les pinces les pose fermement et avec un lacet les attache au retro du fourgon je suis sur la pointe des pieds les seins tirés vers le haut.
- Branle toi
J'obéis, bien qu'il soit dur de garder l'équilibre.
- Tournes toi sur le coté, continues
Il prend un gode dans le camion, cherche ma chatte, la trouve sans difficulté et me gode sans douceur, j'ai mal mais c'est bon ! je jouis très vite pas aussi fort que tout à l'heure mais c'est bien quand même.
- Si on se recroise, tu es à moi que tu le veuilles ou non. Salut !
Trois mecs qui ont assisté à la scène de loin, s'approchent. J'essaie d'atteindre ma voiture mais ils me rattrapent et m'entraînent vers les bancs un peu plus haut,
Tu ne vas pas te tirer comme ça, tu nous vides les couilles et on te laisse.
J'essaye de résister, je me débats, un des types me tire deux gifles, je comprends que je vais y passer, je ne me suis jamais fait violer, je ne réfléchis pas et résiste mais je ne peux pas grand chose. A deux il me plaque la tête sur un banc fesses en l'air jambes tendues et écartées et le troisième me plante sa queue dans le cul et me défonce violemment et rapidement se vide.
Je ne résiste plus, un des deux autres sort sa queue, il est assis sur le banc, il me tire vers lui et me met sa bite dans la bouche pendant que le troisième me baise, rapidement il jouit.
Le dernier se relève et me fait mettre à genoux dos contre le bancs les bras derrière l'assise du banc, je suis bien cambrée. Il se met à genoux sur le banc les jambes de chaque côté de moi et me fourre sa bite dans la bouche il est violant, sa queue s'enfonce dans ma gorge. J'entends des voix, il y a des spectateurs. Je commence à apprécier cette bite donc je participe je le suce profondément, ça lui plait, il accélère et je bande de nouveau je sens que les spectateurs se rapprochent, une bouche s'empare de ma bite et me suce goulument, des mains me caressent. Mon dernier violeur me décharge sur le visage et se barre. Je me retrouve bien cambrée un mec me suce plutôt bien et quatre autre mecs sont autour de moi et se paluchent, je les regarde faire en me massant les tétons, je suis une vraie salope, je ne peux pas résister à une queue. Ils finissent par me couvrir de sperme je ne résiste plus, je sens le plaisir monter et je décharge dans cette bouche accueillante.
Tout s'arrête, les mecs se barrent, je me relève et regagne ma voiture toute ruisselante de sperme.
C'est fini pour cette nuit, il est cinq heure le jours se lève, je suis rassasiée !
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C'est fini pour cette fois, mais je reviendrai.