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Vos experiences sur lieux de drague
Par fabiennesissy dans L'ECOLE DE FABIENNE SISSY le 17 Janvier 2023 à 20:28LES FILLES
GRACE AU BLOG, VOUS AVEZ PU RENCONTRER, UN MALE, DES GROUPES DE MALES, QUI ONT FAIT DE VOUS, UNE BONNE SALOPE SOUMISE, ACCRO A LA BITE ET AU JUS.
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fabiennesissy@gmail.com
TAYA PREMIERE FOIS
https://www.facebook.com/taya.tahir.58
07. 85. 83. 48. 71
C’était la veille du 11 novembre, à cause du week-end annoncé, Paris s’était quelque peu vidé de ses habitants.
Il avait beaucoup plu sur l’agglomération parisienne, et j’avais pris rendez-vous via mon adresse coquine sur internet, avec un admirateur belge, avec qui je correspondais depuis peu en échangeant photos et conseils, et qui devait passer le week-end à Paris pour m’emmener au restaurant et aller finir la soirée dans un club…
Il m’a téléphoné, s’excusant de devoir décommander notre rendez-vous… Un coup de blues m’accabla.
J’étais seule, un peu déprimée de ce contre-temps, je n’avais pas envie de relancer au dernier moment un ami, ou de draguer un inconnu sur le net pour meubler ma soirée ; j’ai donc décidé de concrétiser l’une de mes pulsions les plus anciennes et les plus secrètes, que je n’avais jamais encore osé assumer en plein Paris : me prostituer en pleine rue, offrir mon corps à des inconnus de rencontre !
Je me suis préparée avec soin, et déjà beaucoup d’excitation.Un bustier de satin noir, des bas dentelles de même teinte, un slip brésilien en dentelle, et un caraco de satin, rehaussé d’une fine dentelle assortie.
Avec ces dessous très sexys, j’ai choisi une tenue plutôt BCBG : chemisier de soie uni vert bronze, et ensemble Chanel en chiné vert. Lourds pendentifs en or aux oreilles, collier, bracelets, bagues et, petite touche sensuelle, j’ai enfilé des mi-gants de dentelles noire.
Talons aiguille, maquillage, parfum. J’ai brossé ma perruque rousse, noué un carré Hermès sur ma tête, enfilé une courte veste de fourrure léopard, pris mon sac et mes clés de voiture, et suis descendue au parking chercher mon véhicule.
J’ai tourné longtemps dans Paris sans vraiment trouver l’occasion – et surtout l’endroit – pour faire mes premiers pas de putain sur l’asphalte des trottoirs parisiens…Trop de monde vers Pigalle et la place Clichy ; trop dangereux le bois de Boulogne ; trop piétonnière la rue Saint Denis… Finalement je suis arrivée dans ce petit espace vert qui sépare le périphérique du boulevard des Maréchaux, entre la porte Champerret et la porte d’Asnières…
Déclic dans ma tête : quelques routiers, visiblement fatigués par la route et bloqués par l’interdiction de circuler un jour férié, rangeaient leurs camions pour passer la nuit dans cet endroit tranquille.J’ai garé ma voiture, et me suis lancée dans l’aventure…
Sous mon parapluie, je me suis mise à remonter lentement sur le trottoir, le long alignement des poids-lourds. Dans certaines cabines, les rideaux étaient déjà tirés et leurs occupants certainement déjà endormis.Mais je suis passée devant un camion dont le chauffeur vérifiait l’attache de sa remorque.
Le camion portait une plaque belge, ce qui me fit penser à l’homme qui m’avait posé un lapin pour ce soir…
Le chauffeur avait une quarantaine d’année, blond, d’aspect simple et soigné.Il m’a regardée, m’a souri, et demandé si je me promenais ou bien si… Je me suis arrêtée à côté de lui, j’ai souri sous mon parapluie et lui ai lancé « Cela dépend… »
Il m’a aussitôt invité à monter dans la cabine de son camion pour éviter de discuter dehors.Je m’assieds sur le siège de droite, loin de lui qui se hisse sur le siège conducteur, séparés par un troisième fauteuil.
Il se glisse sur ce siège du milieu et me demande
« Vous prenez combien ? »
Je n’avais guère réfléchi à la chose et je lui réponds, un peu au hasard « Vingt euros pour une pipe ; cinquante pour faire l’amour… »
Il sourit, me dit qu’il trouve ce prix raisonnable, mais je crois bon de lui préciser que je suis un « travesti » avec un sexe de garçon…
Il me regarde plus attentivement, me demande « On peut voir ? » et je remonte lentement ma jupe de tailleur, lui faisant découvrir mes soieries noires.La bosse qui tend mon slip brésilien témoigne de la véracité de mes dires ; il avance alors sa main et pose délicatement celle-ci sur mon sexe qui tend la soie noire.
Je frémis de tout mon corps, comme si une décharge électrique m’avait soudain tétanisée. Sa caresse se fait plus tendre, et mon sexe se met aussitôt à prendre des dispositions assez exceptionnelles …
pour une femme !
L’homme s’est rapproché de moi et passant son bras droit autour de mes épaules, m’attire à lui pour accentuer sa caresse.« J’aime bien les garçons, j’en prends souvent en stop …
et dans ma cabine »
et d’un geste il tire le lourd rideau qui me révèle la cabine et le matelas attenant. « J’ai envie de toi » continue t-il et il entreprend de tirer un autre rideau qui court le long de son pare-brise et nous isole soudain des regards extérieurs.
« Prépares-toi, je me déshabille et je t’attends dans la couchette » me dit-il en enjambant le siège et en rejoignant le petit lit.
Je dénoue mon foulard, ôte ma veste de fourrure et ma veste de tailleur, déboutonne lentement mon chemisier puis fait glisser ma jupe à mes pieds.
« Tu veux que je garde mes dessous ? » « Bien sur ma chérie, c’est encore plus excitant… »
J’ouvre le rideau et me présente devant lui avec mes dessous de soie et satin noirs, « Superbe ! » murmure-t-il en m’aidant à le rejoindre.Il est nu, et son excitation commence à se manifester de façon très voyante. Il m’attire à lui, prenant mon visage à deux mains et après avoir soigneusement tiré le rideau nous isolant de la cabine, me demande s’il peut m’embrasser. « Oui mon chéri, tu es trop chou et moi, trop excitée ! »
Il prend mon visage entre ses mains et colle ses lèvres aux miennes.
Sa langue vient chercher la mienne, l’attirant, s’enroulant autour, soudant un baiser d’une exquise volupté entre nos deux visages.
Puis ses mains commencent à me caresser à travers le satiné de mes soieries intimes.Il sent bon, une eau de toilette un peu poivrée et musquée.
Il est musclé et surtout, merveilleusement caressant.
Ma bouche vient quasi naturellement se poser au creux de son nombril, puis ma langue, s’étirant doucement sur sa peau tendue, accroche son sexe dressé.
Je m’applique à lui procurer alors une fellation exceptionnelle, alternant effets de lèvres et de langue sur sa hampe et son méat, effleurements et succions, caresses et mordillement de ses bourses. J’enduis de salive une colonne de chair qui prend des proportions telles que j’en suis effrayée lorsque je pense à la prochaine destination de ce superbe sexe…
L’homme halète maintenant au rythme de ma caresse buccale.Ses reins s’agitent spasmodiquement tandis que ma bouche s’active sensuellement dans son entre-cuisses.
Lorsque je sens son excitation monter, je dégage un moment mes lèvres et lui murmure « Vas-y mon chéri ! laisse toi aller, crache tout dans ma gorge, je veux boire ta liqueur, je veux avaler ta semence ! »L’homme a une longue plainte et à peine ai-je ré-enfourné son engin entre mes joues, qu’un jet puissant, propulse une liqueur âcre et brûlante dans ma bouche. Des rasades à n’en plus finir emplissent mon palais de cette chaude laitance… J’aspire goulûment la moindre goutte perlant à la pointe de son gland, puis, me redressant à genoux face à lui, je lui montre que j’avale avec régal le fruit de son plaisir…
Il m’attire alors à lui, et vient chercher avec sa langue, au fond de la mienne, l’âcre goût de son propre suc !
Je suis de plus en plus excitée, et j’ai peur qu’il ne débande sans me prendre.Aussi m’évertué-je aussitôt par des caresses et des baisers sensuels sur son torse et la pointe de ses seins, à lui rendre rapidement son excitation. Il ronronne sous mes baisers,
« Whaou ! Tu es une vraie courtisane toi au moins ! »
murmure-t-il à mon oreille, tandis que je sens sous mes doigts gantés de dentelle, sa vigueur revenir très rapidement.
Mes doigts caressent sa hampe qui durcit à nouveau, mes lèvres reviennent se poser sur les siennes, et ce sont ses mains fortes qui alors m’empoignent aux épaules pour m’allonger sur la couchette.Ses doigts agrippent ma culotte satinée et la font glisser le long de mes jambes gainées de nylon noir. Ses doigts caressent à présent ma croupe ; je me cambre sous cette caresse.
Ecartant légèrement mes cuisses, je laisse ses mains tâter à la fois mes petites bourses lovées et mon « petit temple d’amour »…
« Attends, j’ai du gel »lui dis-je. Et, attrapant dans mon sac un tube de lubrifiant, j’en pose une noix au bord de mon anus.
« Laisse-moi faire me dit-il tendrement, et ses doigts se mettent à masser pour faire doucement pénétrer la crème au bord de ma petite « chatte »…
L’homme modifie alors ma position. Il me retourne, pour qu’allongée à plat ventre, il glisse sous mon ventre un oreiller, ce qui a pour effet de rehausser mes fesses vers lui.Je le sens s’agenouiller entre mes cuisses, puis poser au bord de mon anus, son gland qu’il a recouvert d’un préservatif vaseliné.
Il s’accroche alors à mes hanches et s’enfonce soudain en moi, intromission grandement facilitée par le gel et la vaseline de sa capote…Il avance lentement, mais inexorablement.
Sa progression me coupe le souffle ; il est au fond de moi. C’est alors qu’il se dégage lentement, laissant juste son gland enfoncé en moi ; puis il le ré-introduit de nouveau, m’arrachant un premier cri de plaisir.
Sa pénétration est maintenant doucement saccadée de petits mouvements d’avant en arrière ; je sens son gland me frotter intérieurement, et le plaisir monte lentement en moi comme une vague terrible et irrésistible.Je halète, je me mords les lèvres pour ne pas hurler, laissant à peine échapper de petits cris et feulements de plaisir, quand je sens une pénétration plus profonde toucher ma prostate et déclencher soudain en moi un orgasme brutal. Tandis que ses doigts caressent ma petite queue dressée, j’éclate soudain en sanglots sur la banquette, tandis que mon sexe lance dans sa main de longues saccades de foutre tiède. C’est à ce moment qu’il a lui –même sa jouissance, s’empalant à fond en moi, en gémissant langoureusement, il éjacule brutalement en se soudant totalement à moi.
Enlacés, nous tombons exténués sur la couchette, tandis que je sens sa semence sortir de son préservatif encore fiché entre mes fesses, et couler le long de mes cuisses ouvertes, et encore prises par son pieu.
Je ne reprends mes esprits qu’après de longues minutes. L’homme s’est redressé et me regarde en souriant. «Tu as aimé ? » « Humm ! C’était divin mon chéri »ais-je la force de murmurer…
Il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement, tendrement « J’ai adoré ce moment avec toi ; J’adorerai te revoir lorsque je passe par Paris : tu es sublime »Je lui rends ses baisers en lui glissant «Avec plaisir ; tu es un amant merveilleux ! »
Puis j’attrape mon sac et lui griffonne mon numéro de portable et de mail sur un bristol où je marque Taya. Il prend son porte-feuilles dans le pantalon plié devant lui et m’offre un billet de cinquante euros « Cela ira ? »
Je l’embrasse et lui murmure « C’est parfait ! Merci mon chéri »
Je reste blottie encore un long moment dans ses bras, puis je me glisse sur le siège passager et commence à me rhabiller.
Après une dernière étreinte et un dernier baiser, je m’extirpe de la cabine du camion.Je rejoins en claudiquant légèrement ma voiture.
Mes fesses encore poisseuses, me rappellent le formidable plaisir que nous avons connu ensemble…
Je rentre chez moi dormir, mes sens encore tout tourneboulés.
Jamais je n’aurais cru vivre une telle expérience dans de si délicieuses conditions ! Ce fut à la fois si intense et si excitant, que j’ai déjà envie de recommencer un jour prochain !
Manon des Ardennes
: ghost08500@gmail.com
Bonjour Maîtresse Fabienne,
Je vous écris ce message afin de vous faire part de mon soutien, car j'ai vu sur votre blog hôtel des sissy, que des filles vous ont menacée de porter plainte contre vous.
Je suis attristée par ces comportements, car lors de l'ouverture d'une chambre, c'est a la demande d'une fille, jamais contre son gré. Lorsque nous vous envoyons des photos, nous sommes entièrement conscientes, que forcément les photos n'appartiendront plus au domaine privé , et deviendront publiques , internet étant un espace public. Les photos forcément ne seront plus notre propriété, et appartiendront a tout le monde. Nous sommes également conscientes que les photos que nous vous donnons risquent d'être téléchargées et reposter a d'autres endroits sur internet. Cela fait évidemment partie de l'exhibition.
Jamais vous n'avez fait quelque chose contre notre gré et encore moins jamais vous n'avez ''voler'' de photos. C'est toujours a notre demande, avec notre conssentement et évidemment nous sommes conscientes des risques que cela engendre derrière et nous l'assumons.
Ne pas assumer et vous menacer de porter plainte , c'est dégueulasse pour les autres filles qui elles, assument pleinement, et profitent de votre blog afin d'être exhibée aux yeux de tous et pouvoir rencontrer des mâles alpha. Surtout qu'un simple message a toujours suffit afin d'etre retirées du blog si nous changeons d'avis.
Malheureusement, les filles comme moi qui assument pleinement, payent les pots cassés de celles qui n'assument rien et font juste cela pour l'excitation de quelques heures. De plus en plus de sites ferment a cause de cela, et malheureusement nous pouvons de moins en moins nous exhiber sur internet.
Ainsi je vous assure de tout mon soutien, et surtout je vous remercie pour ce que vous faites pour toutes les filles.
Vous devriez lors de l'ouverture d'une chambre, demander aux filles un formulaire, ou un mail, afin de renoncer a nos droits sur les images, et signifier que c'est a notre demande, en étant pleinement conscientes des risques d'internet, en précisant notre nom, et prénom qui resteront bien évidemment confidentiel pour celles qui ont peur du divulger. Cela pourrait vous protéger d'un éventuel dépôt de plainte, et éviter une éventuelle fermeture de l'hôtel des sissy.
Dans tout les cas, je trouverai normal de devoir remplir un formulaire ou écrire un mail, pour renoncer a mes droits, sachez le. Nous ne sommes que des filles, pour ne pas dire des chiennes, et vous prenez tous les risques pour nous exhiber et nous exposer, sans vous protéger, sans contrepartie. Face a certain comportements, il serait normal de nous demander de renoncer a nos droits car nous sommes consententes, et c'est toujours à notre demande.
Merci pour tout ce que vous faites Maîtresse Fabienne, grâce à vous nous pouvons nous faire connaître dans toute la France.
Courage à vous Maîtresse Fabienne,
Tendrement,Votre pute Manon des Ardennesbimec@tutamail.com
Quelle joie incroyable que de trouver un site tel que le vôtre au fil de ma navigation en ligne.Coincée depuis des années dans un mariage de façade dans lequel je ne fais que m'enfoncer, et de surcroît père de deux mômes, la découverte de votre site est une véritable bénédiction pour la petite chienne soumise et bonne videuse de couille qui brûle à l'intérieur de moi.
En consultant votre site, j'ai pris un immense plaisir à parcourir les pages qui débordent d'autres bonnes chiennes en rut prêtes à sucer des queues, se faire enfiler par tous les orifices et couvrir le visage de foutre bien chaud.
Je ne peux que rêver d'éventuellement trouver l'ultime volonté de faire tomber mes dernières réticences et franchir le pas moi-même pour extérioriser mon côté de bonne petite femelle pour des hommes matures qui voudraient faire de moi leur objet sexuel, au lieu de demeurer prostré dans un rôle de mari et père de famille.
J'ai un gros faible pour les matures 50+ et j'aimerais éventuellement devenir la soumise d'un bon mâle mature très cochon qui me transformerait en femelle objet pour son seul et unique plaisir.
Je suis malheureusement de l'autre côté de l'océan et n'ai pas encore trouvé en moi la force ultime de m'affranchir de mes dernières barrières pyschologiques, mais j'aspire à devenir moi-même éventuellement une chienne qui s'affirme comme celles présentes sur votre magnifique site web.
Elles sont toutes inspirantes et, quoique je n'aie pas encore été aussi loin dans l'affirmation de ma vraie personnalité, je me reconnais dans les descriptions et les témoignages de plusieurs d'entre elles. J'adore les culottes qui moule mon cul et font ressortir mon clitoris, ainsi que les nuisettes très féminines en outre.
Voilà ! C'était un simple témoignage d'appréciation et de sincères remerciements d'être une aussi bonne maîtresse pour toutes ces bonnes chiennes soumises qui constituent votre cheptel. Elles doivent vous en être reconnaissantes, j'en suis certaine.
Respectueusement,
Sissy Lara, directement du Canadaromuald12@yahoo.com
Nous ne nous connaissons pas et nous n'avons pas les mêmes centres d'intérèts.Sauf un: nous avons en commun un couple qui s'était inscrit sur ton site, Patricia et Bernard de Cergy (95).Et elle se présentait déjà comme une pute.
Je suis Romuald, Dominateur de 43 ans et je m'occupe de ce couple depuis plus de 2 ans. Et je confirme que Patricia (53 ou 54 ans, mariée, mère de 2 garçons) est maintenant vraiment une putain. Je ne suis pas un mac mais juste un maître qui réuni les conditions pour qu'une femelle ou un couple aille au bout de ses fantasmes.Evidemment Patricia n'est pas une pute de luxe mais au contraire une bonne "gauloise" pour les jeunes blacks, arabes et beurs des cités...Et sa lopette de mari a déjà sucé pas mal des types qui ont baisé cette pute.
Qu'ils servent d'exemple.Patricia tu t'es bien remise de ton "travail" de samedi?Bon retour de Karim qui m'a dit que ses copains et lui sont contents de toi. Bravo tu es maintenant une vraie bonne putain et Bernard tu dois être fier de ta femme qui réalise son fantasme de pute de cité.C'est bien, je suis content de vous, vous assumez.leur mail : nous2pb@yahoo.comMerci a Fabienne pour son blog.sandrasissy69@gmail.comMon histoire entre 16 et 18 ans, j'ai eu l'envie soudaine de me travestir chance pour moi j'avais les vêtements de ma grande sœur pour les essayerj'ai profité de son absence pour les porter.A cette époque je faisais entre 70 à 80 kg mes parents, sont tombés une fois sur moi habilleée en femme tout de suite ça a était la moquerie, ils ont raconté à toute ma famille et se sont moqués de moi à cause de ça j'ai laissé tomber.Je me suis laissé aller quelques années plus tard en 2015-2016, j'ai recommencé à porter des sous-vêtements féminins n'étant pas chez moi vu que je louaisj'ai préféré abandonner par peur d'être surpris aujourd'hui à 34 ans, je me sens féminin malgré mes rondeurs.Je sais mais il y a aussi des femmes rondes et belles aujourd'hui je sais ce que je veux devenir car je suis attiré par le BDSM le travestissement et j'aimerais être une Sissy.après avoir consulté des blogs consulter des forums me reconnaissant dans certains articles.j'ai donc décidé de passer le cap de m'acheter ma première perruque et mon premier maquillage.je commence à m'épiler mon corps des fois je me pose la question est-ce que c'est vraiment un homme que j'aurais voulu être ! car je me sens bien dans les tenues féminines, je me sens bien quand je porte une perruque voilà mon histoire je ne demande pas de jugement de moquerie mais un soutien.A 18 ans, j'ai pratiqué ma première fellation dans une voiture et j'avoue que je n'ai pas été dégoûté, ça m'a vraiment plu de sentir son jus dans ma bouche, l'avaler quel délice.Au fur et à mesure du temps, j'ai acheté des plugs, je les ai essayé malheureusement ayant trop de va-et-vient et ma famille, j'ai préféré tout jeter à la poubelle en étant dégoûté.aujourd'hui je me rends compte quel gâchis de ne pas avoir été jusqu'au bout.c'est pour ça aujourd'hui que j'ai envie de devenir une bonne sissy, et je sais que je vais y arriver tout ça grâce vous Maitresse Fabienne.je sais que je vais que je vais pouvoir trouver des bons mâles, grâce a vous Maitresse.je vous souhaite une bonne journée et à bientôtSandraELISABETH SALOPE
DE AIX-EN-PROVENCE
Skype : BaB elisabeth
Mail : elisabeth.973@yahoo.com
Elisabeth Martin
Première fois au x center d Aix en provence.
Sur ordre de mon maitre Lionel martin, je me suis préparé ce jeudi.Vernis aux ongles, string soutient gorge avec des bas couleur chair portant l as de pique et les initiales de mon maitre (LM) sur ma cheville.
Passez la peur d aller pour la première fois dans un sex Shop, j espérais au fond de moi arriver à aller dans le gloryhole de l étage.
Mise derrière une cloison mes seins en l air et à genoux, j attendais patiement l homme qui aura envie de se faire sucer.
Au bout de 20mn, un mec s'arrête, se plaque à la paroit Avec la bite à la main. Humm un arabe, belle queue bien droite bien dure et circoncis. Bouche ouverte, je suce Je suce jusqu'à ce que je le sente jouir. Fini part sans un mot mais je suis heureuse d avoir bien travailler.
Je reste comme ça, l heure passe. Je vais dans la salle où un film est train de passer. Un mec se branle. C est un vieux, mais sa bite m attire. Je m approche lui, montre ma poitrine et guide sa main dessus. Je me sens chienne. Il m attrape ma tête et m ordonne de sucer. Je ne me.fais pas prier je me sens pute et j obeie. 30 mn le vieux tiens mais je vais l'avoir. Gorge profonde, aspiration du gland, l'échange des couilles et je le sens jouir dans ma bouche. J avale tout lui nettoie la bite me sens sens vide et tremblante. Je peux partir satisfaite. La prochaine fois je vais y aller pour la journée. Mon maitre est fier de sa pute. Je suis une pute et bientôt j espere goûter un black pour découvrir.
A bientôt au x center d Aix en provence.FABIENNE SISSYfabiennesissy@gmail.comhttp://fabiennesissy.hotviber.frMA SORTIE A VILLEFRANCHE SUR SAONE 69400
Ce soir, je vais a villefranche sur saone 69400, vers le plan d eau derriere le camping.
J'ai juste un body nylon, des bas resilles bottes collier de chienne,Maquillage provocant (pute, quoi).
Il est 23h, je rentre dans ma voiture et en route. Après 20minutes de trajet , j' arrive sur le parking routier, quelques camions, Quelques voitures tournent mais personne dehors.
les voitures repassent, ralentissent et repartent. Le manège continue, c'est souvent comme ça. Une camionette noire s'arrête un peu plus loin, un homme descend la cinquantaine, allure sportive, un visage très marqué et froid. Il s'approche de moi :
- je cherche une grosse salope, je crois que je l'ai trouvée. Si tu aimes le sado-maso, suis-moi ! Dit-il d'un ton très autoritaire,
Il repart vers sa camionnette sans se retourner. Un peu abasourdie, j'hésite un bref instant et le suis. Il me fait monter à l'arrière avec un petit sourire satisfait.
Et là! surprise! le véhicule est aménagé sado-maso, sur les parois capitonnées sont accroché des martinets, menottes, cordes et autres sangles. Au milieu se trouve une espèce de banc à trois pieds avec deux supports pour les genoux une poutre pour s'allonger, elle penche vers l'avant le tout bardé de sangle.
- Ça te plais ? dit-il en me caressant les seins .
-j'essaye de lui caresser le sexe, il me bloque la main :
- Tu ne touches pas et tu fais uniquement ce que je te demande, sinon tu sors !
- Pardon dis-je en baissant les yeux.
tu mets cette cagoule.
C'est une cagoule en cuir avec fermeture pour la bouche et les yeux, je m'exécute. Il me fait asseoir et entreprend de me poser un Ball stretcher d'au moins 500g, il y a un petit anneau sur le dessus. Puis il me pose des pinces chinoises sur les tétons, que j'ai tout durs comme il fait frais. Ça le fait rire et il tire un coup sec sur les pinces, ça me fait mal et effet immédiat je bande. Il s'en rend compte :
- On va bien s'entendre si tu réagis aussi bien, dit-il en tirant un peu plus sur les pinces.
- Installe-toi, il me montre le banc.
Je m'agenouille sur les deux emplacement prévus à cet effet et m'allonge sur la poutre en dessous il y a deux poignées de caque côté qui tombe juste sous mes mains, je les empoigne.
- Je vais t'attacher la dessus et on va pouvoir commencer.
A l'aide des sangles qui équipe le banc il m'attache fermement les mollets, les cuisses, le torse et enfin les mains sur les deux poignées. Il passe sous le banc, m'attrape les couilles par le ball stretcher et passe un lacet dans l'anneau et le fixe au sol et tend fermement le tout puis il fait de même avec les pinces qui, du coup, me martyrise les tétons et donc je bande très fort.
- Je vois que tu aimes ce que je te fais, c'est bien, je vais prendre un sacré panard.
Il se relève, passe devant moi et ferme l'ouverture des yeux de la cagoule. Je l'entends prendre quelque chose accrocher au mur. La position sur ce banc est particulière, elle m'oblige à avoir les fesses bien offertes. A peine le temps de penser à ma position et le premier coup de martinet s'abat juste entre mes fesses en plein sur ma petite chatte, les lanières s'enroule bien le long de ma raie et viennent me lécher les couilles, occasionnant une délicieuse brûlure. Les coups s'enchaînent, à droite, à gauche et au milieu, c'est bon. J'ai les fesses en feu. Il change de matériel, vient se mettre sur ma gauche, le coup s'abat sur ma hanche droite les lanières s'enroulent et viennent me cingler le sexe, une fois, deux fois, les coups s'enchaînent, je gémis de douleur, de plaisir je ne sais pas trop. Il le sent et continue, revient devant moi et s'acharne sur mon cul, mes couilles.Il sort sa queue et sans ménagement me l'enfourne dans la bouche, me tient la tête d'une main et de l'autre continue de me fouetter.
D'un coup tout s'arrête, puis je sens un liquide me couler sur les fesses, il me masse les fesses, les couilles, la bite. Ses doigts s'introduisent dans mon cul, deux, trois, quatre doigts, il vont et viennent fermement, habilement, je bande. Il s'éloigne et je l'entends déplacer quelque chose de lourd, tout se passe derrière moi. Je sens ce qui pourrait ressembler à un gode c'est assez massif. Une machine se met en route doucement, le gode avance inexorablement et s'enfonce en moi, il est vraiment gros et me dilate bien le cul. Je l'entends s'affairer, il avance la machine pour que le gode aille plus profondément et accélère le mouvement. Je sens ses mains courir sur mon ventre et s'attarder sur mes couilles et ma bite, il me branle d'une main pendant que l'autre me masse les burnes, je bande comme un âne.
- Putain ça te plais ma salope, on va y passer la nuit, tu vas recevoir sérieux.
Il détache les pinces à seins, j'ai les tétons hyper sensible. Il s'amuse avec, les titille, les pince. Plus il me sent frémir, plus il s'amuse avec, puis il remet les pinces mais se ne sont pas les mêmes, elles sont plus lourdes et sert plus fort. Elles se mettent à vibrer. Génial, c'est trop bon ces vibrations dans les tétons, ce gode qui va et vient bien profondément, je commence tortiller mon cul pour accentuer la sensation de pénétration je ne veux surtout pas que ça s'arrête ! Mon tortionnaire en a bien conscience :
- Ne t'en fait pas grosse pétasse tu en as pour la nuit. On a vingt minutes de trajet et puis tu vas être honorer comme tu le mérites. Mais d'abord je vais te chauffer un peu les fesses.
Il reprend, le martinet les coups pleuvent à droite, à gauche et surtout sur la bite ça brûle, ça cingle, c'est bon. Il s'arrête et se met au volant, on démarre et là, le pied, les pinces à seins sont plus lourdes certes mais en liberté et au fil de la route, elles battent dans tout les sens, s'entrechoquent et me martyrise délicieusement les seins. Je bouge mon cul au rythme de la machine, il ne manque pas grand chose pour que je jouisse.
Mon bourreau pianote sur son téléphone :
- Omar, salut je t'amène une putain de salope si vous pouviez venir vous en occuper ça me plairait assez.
Je n'ai pas entendu la réponse mais commence à deviné ce qui m'attend, j'en frétille déjà.maître revient vers moi, arrête la machine et enlève le gode, je pousse un petit cri de dépit.
- T'inquiètes, la suite va te plaire ou je n'ai pas tout compris.
Quelqu'un frappe sur le fourgon :
- Oh mon ami, elle est où ta pute ! Comment on procède, si elle est affamée, un devant, un derrière. Non ?
- Viens voir et fait comme tu veux, elle est à vous mais ne la cassez pas, je n'ai pas fini avec elle.
Mon maître retourne au volant et deux mecs montent, ils passent de chaque côté, me palpent les fesses, les cuisses, les hanches puis deux mains m'écartent les fesses :
- Tu as vu comme elle est ouverte, il nous l'a bien travaillé, j'en connais quelques uns qui vont se régaler, ils pleurent toujours qu'elles sont trop serrées. Regardes-moi ce cul j'y met le poing c'est sûr.
Ses doigts commencent leurs investigations, quatre doigts pour commencer, je m'agite et gémis.
- Ça lui plaît, continue pendant qu'elle me suce.
Il me prend la tête à deux mains et m'enfourne une queue épaisse et dure dans la bouche pendant que son ami force mon petit cul affamé avec son poing pas trop gros mais agile. Il me pénètre doucement puis se retire et replonge aussitôt, ainsi de suite, de plus en plus profond. L'autre me défonce la bouche, j'aimerai bien bouger, les toucher mais je suis limité par mes liens. Une main me caresse la queue puis me branle.
- Tu verrais comme elle bande cette pute, elle aime ce qu'on lui fait, finit ton affaire et appelle les autres.
- Ma belle, les mecs qui arrivent vont te défoncer comme jamais, tu reviendras toutes les nuits, tu seras accroc.Ton erreur ça a été de venir ce soir. Je fini mon fist et tu seras à eux.
Sur ces douces paroles,il continu son va et vient et s'enfonce chaque fois un peu plus loin, je sens son poing dans mon ventre. Son pote s'active dans la bouche, je le sens se tendre et durcir,il me bloque la tête et m'enfonce son pieux tout fond de la gorge et crache son jus, j'avale tout, le lèche, le suce jusqu'à la dernière goutte pendant que le poing se retire doucement. Je reste là pantelant attendant la suite. Mon maître revient me met sa queue dans la bouche et reprends le martinet, c'est reparti mais cette fois il insiste bien entre les fesses pour que ça me cingle bien les couilles.
Deux black d'au moins 130kg en short et torse nu pénètre dans la camionnette.
- Je vous la laisse, je la maintenais en condition, amusez-vous bien.
Il descend et laisse les deux black opérer. Le premier fait tomber le short et ouvre la cagoule pour que je vois à quoi j'ai affaire. Il est devant moi à poil immense et magnifique une queue énorme, le gode était petit à côté. Son pote à côté est tout aussi canon et surtout même genre de bite je mouille déjà. J'ai cette splendide bite devant moi et ne suis pas sûr de pouvoir la sucer. Elle s'approche, je la lèche goulûment, il me l'enfonce doucement dans la bouche, je ne peux rien faire juste ouvrir la bouche et le laisser rentrer lentement.
- tu Vas la baiser pendant que je lui prend la bouche, regardes si elle bande toujours !
L'autre passe derrière moi me tape la rondelle avec son chibre, j'essaie de lui tendre mon cul comme je peux. Il se marre et me pénètre d'un coup, s'allonge sur moi avec de violent coup de reins et me défonce allègrement. Il m’attrape la queue et constate que je bande aussi dur que lui et le dit à son pote.
- Il nous en à trouver une bonne ce soir, elle va pas pleurer qu'elle n'en peut plus tout de suite .
- C'est sûr,regarde comme elle accepte ma queue. Vas-y continue défonce la bien !
Je râle sous ces coups de boutoir, il me plaque bien sur la poutre, je sens sa queue dans mon ventre. Il s'active de plus en plus vite, je le sens bien c'est bon ! Un dernier coup de reins, un gros râle, il se tend et explose en moi. Son copain se précipite et le vire carrément. Sans plus de ménagement il s'enfonce en moi pendant que l'autre m'amène sa queue à lécher, ce que je fais avec plaisir, c'est plus facile il bande moins et j'ai envie de la remercier. Pendant ce temps le pote s'affaire pour mon plus grand plaisir mais il s'arrête repasse devant, j'ai pas fini de sucer son pote qu'il me couvre de sperme. Drôle de fin.
Mon maître revient, s'empresse de refermer la cagoule.
- Tu t'en sort bien, ils avaient l'air content, c'est bien. Je vais m'occuper de toi en attendant les deux suivant.
Il rouvre la cagoule et me montre un énorme plug.
- Tu vas adorer dit-il en se marrant
Il passe derrière moi, me badigeonne de gel et entreprend de faire rentrer ce plug, il faut dire que je suis bien dilater. Doucement il me force, lentement je sens mon cul s'ouvrir de plus en plus et d'un coup le cap est franchi avec un cri de douleur. Puis il me met une boule bâillon qu'il attache à la sangle qui me maintient le torse plaqué à la poutre de façon à me tenir la tête en arrière. Il accroche deux gros poids aux deux pinces à seins et remet le vibreur en route, génial. Un dernier poids qu'il fixe au le balls stretcher qu'il à préalablement détacher. Il revient s'occuper du plug doucement il le retire et le bloque dès qu'il va être expulsé j'ai le cul complètement dilaté ça fait mal mais j'aime bien, il le renfonce. Je le vois chercher quelque chose dans un petit sac, c'est du poppers amsterdam, il me met la fiole sous le nez j’inhale profondément la chaleur m’envahit doucement il est retourné après le plug et le retire doucement, le laisse sortir et aussitôt le renfonce sans délicatesse, je n'ai pas le temps de respirer, il le retire, le poppers aidant je suis bien détendu et accompagne le mouvement quand il sent que je prends vraiment mon pied il s'arrête, le plug bien place il l'attache au câble du bâillon et me détache complètement et referme la cagoule. Il me fait lever, ce n'est pas facile, j'ai la tête en arrière, les poids accrochés à mes seins et mes couilles, un plug dans le cul que je dois garder et je n'y vois rien.
Mon maître est bon, il m'aide et me fait sortir du fourgon. Je ne sais pas où on est, je pense que ce soit sur le parking du camping, mais je balise un peu.J'entends des types parler mais je ne comprends pas. Il me fait appuyer contre la camionnette les mains en l'air. J'entends du monde qui s'approche. Mon bourreau est près de moi, il m'effleure avec quelque chose, je crois reconnaître le martinet mais les lanières semblent plus longues. Il me fait m'écarter du fourgon tout en gardant les mains appuyées dessus de façon à ce que les poids soit bien dans le vide. J'ai les pieds bien écartés, je suis offert aux coups de fouet. Il me fait sniffer du poppers longuement, il s'éloigne et le premier coup tombe, les lanières s'enroule autour de mon torse, cinglent mes seins, un autre coup plus bas sur les hanches et le sexe puis entre les jambes en remontant sur les couilles la bite je me tord de douleur et les poids s'agitent, je commence à gémir, des murmures parcourent les spectateurs.
- Quelqu'un pour essayer ?
J'entends des pas s'approcher.
- Elle peut se retourner, je veux voir sa queue.
- Retourne toi, avance d'un pas.
Je m’exécute sans un mot. Je suis de face, tête en arrière poitrine offerte sexe dressé. Oui je bande toujours.
- Qu'elle se mette à genoux en appuis arrière sur les mains.
- Exécution. dit mon tortionnaire
Et me voilà à genoux, pencher en arrière, les poids des seins pendent de chaque côté et me tirent bien sur le tétons.
Le premier coup s'abat en plein sur les seins puis sur ma queue et encore et encore ? Il ne frappe pas trop fort mais il es précis, il s'arrête.
-Tourne-toi, je veux ton cul.
Je me retourne et lui donne ce qu'il veut. Il se met devant moi et frappe bien dans l'axe, les lanières tombent sur la base du plug et remontent jusqu'à mes burnes, je gémis, me tortille et les poids me martyrise.
- On va passer à autre chose dit mon maître.
Il me fait relever, m'enlève tous les poids et les pinces à seins puis passe derrière moi et se plaque contre moi, je sens sa queue, il bande. Il m'attrape les tétons et les pinces fortement, ils sont terriblement sensibles, je cris plus de surprise que de douleur et commence à me frotter lascivement contre sa queue il continue, pince de plus en plus fort, je frotte contre lui je cherche une résistance pour appuyer sur le plug j'ai besoin d'être défoncé. Il a tout compris et m'a amené là où il voulait, que je le supplie de me défoncer.Amenez la table et attachez la dessus sur le dos jambes relevées.
Aussitôt dit, aussitôt fait, les mecs sont aussi affamés que moi. Je me retrouve sur le dos, mains attachées au dessus de la tête, jambes relevées et attachées cuisse contre le corps entre temps ils ont détaché le plug ce qui me libère la tête. La table est étudiée pour, pas très large, j'ai les fesses juste au bord la tête dans le vide et elle est à bonne hauteur pour la suite. Ce cher maître entreprend de retirer le plug en le bloquant bien avant qu'il ne sorte. Pendant ce temps un gars me fait sniffer du poppers et quand je suis bien défoncé il me pince les tétons si fort que je ne peux m'empêcher de crier, une main se glisse entre mes cuisses et me masse les couilles et la bite. Le poppers fait bien sont effet je commence à râler et a essayer de bouger mon cul offert. Mon maître en profite pour enfoncer le plug d'un coup et le retire aussitôt complètement puis le remet ainsi de suite.
- Allez-y faites vous sucer, après on la fistera.
Pas besoin de le dire deux fois. Le gars qui s'occupe de mes tétons me fourre sa bite dans la bouche et commence à me pilonner la gorge tout en continuant le travail des seins. C'est une bonne queue, pas trop grosse, pas trop longue je peux en profiter pleinement et le plug va et vient. Je sens la belle queue se raidir, gonfler et se vider dans ma gorge. Pas le temps de savourer une autre se présente toute aussi intéressante bien que différente je savoure. Mon mec ralenti le mouvement avec le plug et doucement le retire.
-Regardez comme elle est ouverte un volontaire pour la fister ?
Un mec s'approche un gros avec des mains de bûcheron, apparemment c'est un fisteur il arrive avec ses gants et son gel. Il vire le mec que je suce et vient se placer juste devant ma bouche sort sa queue, il ne bande pas.
- Fait moi bander et je vais te faire crier ma salope, fait moi jouir et tu ne pourras plus te passer de moi. Travaillez la pendant qu'elle me suce.
Je commence à faire connaissance avec ma nouvelle copine, si elle veut bien se réveiller elle doit être belle bien épaisse, parfaite quoi. Mon gros à compris que s'il s'occupe de mes seins ça sera lui le gagnant, je commence à me tortiller, une main prend possession de mon cul, je m'empale sur cette main pendant que mon gros me masse fermement la poitrine, les hanches, s'égare sur ma bite. Je le suce consciencieusement, je joue de ma langue sur son gland. La main qui me travaille la chatte m'excite vraiment, ça doit se voir et ne pas laisser indifférent mon gros amant, dans ma bouche je sens une queue gonfler tout doucement mais sûrement.
- Détachez la, elle va pas se barrer, elle trop bien avec nous.dit le gros
Les mecs s’exécutent. Les mains libres pour peloter mon gros chéri, je m'active, je bouge, j'offre mon cul, les mains se succèdent pour le chauffer. Cette queue commence à vraiment me plaire, je lui fais de l'effet, ça m'excite, plus ça m'excite, plus je lui fais de l'effet, tout le monde est gagnant.
Elle gonfle, elle durcit, c'est un joli morceau. Doucement le gros commence à s'agiter un léger mouvement de va et vient s'installe, très agréable. Il me tire les jambes à lui, position inconfortable mais j'offre mon cul à ces coups de langue puis il me coince les cuisses sous ses bras et commence à me travailler le cul avec ses deux mains tout en me défonçant la gorge à coup de va et vient puissant je sens à sa façon de me travailler le cul qu'il n'est pas loin de jouir, je m'accroche à lui pour enfoncer cette queue un peu plus dans ma gorge, il force aussi et m'enfonce sont poing dans le cul, d'un seul coup et profondément il continue de forcer puis le retire doucement et enfonce l'autre main de la même façon et de nouveau l'autre ainsi de suite. J'ai le souffle coupé, il enlève ces mains, me relâche. Je me retrouve allongé sur la table, il m'attrape par les hanches et me tire à lui m'enfonçant un peu plus la queue dans la gorge le va et vient s’amplifie, il me lâche les hanches me prends les tétons, les pince, les tord ; Je me cambre sur la table. Il me tire de nouveau à lui me crache dans le cul, le lèche sans détails m'enfonce le poing dans le cul, l’enlève, le remet au même rythme que sa queue me pilonne la bouche puis je le sens se raidir, il est pris de tremblement, son bras s'enfonce dans mon cul pendant que sa queue gonfle, je le sens venir, il m'inonde la bouche, c'est chaud ! C'est bon ! J'adore !
Je crois qu c'est fini, mais non, il a toujours son poing dans mon cul tout en le maintenant il m'aide à m'allonger sur la table et commence un lent travail, son poing, son bras s'activent doucement, vont et viennent en rythme. Un type s'approche de la table, sort sa queue et se place devant moi, il amène ses couilles rasées au niveau de ma bouche, je m'empresse de les lécher, il m'aide et me les met dans la bouche je les léche , les suces pendant que mon gros amant s'occupe de mon cul il commence à me travailler avec son autre main, petit à petit ses doigt me pénètre. J'ai son bras et quatre doigts puis il ressort le bras et rentre l'autre ainsi de suite et de plus en plus vite, je réclame du poppers, on m'en donne, je sniffe longuement et encore une fois la chaleur m'envahit, je cherche à m'empaler sur ces deux mains, il m'aide, me force, je râle, et puis doucement je sens les deux mains rentrer alors commence le vrai travail, il sort une main la remet, sort l'autre la remet, le panard. Encore un peu de poppers, l'autre me fourre sa bite dans la bouche et se fait plaisir en jouant avec mes seins. Les autres mecs s'approchent toute queues dehors, je branle ce que je peux, j'ai que deux mains les autres se masturbent, le mec que je suçais me décharge dans la bouche et se tire. Tout ce beau monde me couvrent de jus et m'offre leurs queues pour une petite toilette.
Mon gros amant continue sont fist, il y prend beaucoup de plaisir, moi aussi. Mon maître réapparaît avec son martinet et ses pinces vibrantes, il me les pose, serre bien et commence à me fouetter, sur les seins et surtout sur la queue et les couilles. Je pose mes pieds sur le bord de la table, soulève les hanches et ondule au rythme de mon fisteur, il comprend ce que je veux et retire une main et continue avec l'autre doucement il travaille et s'enfonce un peu plus loin, je râle, j'en demande encore et encore. Mon maître prend les pinces les sert plus fort, les tords, je crie en m'empalant un peu plus sur ce bras qui accélère. Il m'enlève les pinces et me fouette les seins très fort. La douleur est forte mais tellement bonne, je commence à me masturber, mon maître me remet les pinces et joue avec. Mon fisteur accélère vraiment, il me défonce réellement, j'adore, le plaisir monte je commence a crier comme un nana qui jouit, de plus en plus fort et quand il m'enfonce sont bras jusqu'au coude, je jouis, le sperme gicle jusque sur mon visage. Je suis mort, enfin presque, quel pied. !
Le gros se retire me fait asseoir sur la table, me tire vers lui sans ménagement et me roule une pelle tout en m'attrapant la bite et les couilles qu'il serre jusqu'à ce que je gémisse, il me dit :
- Ma salope, je te défoncerai comme ça à chaque fois que je te croiserai. reviens vite !
Il s'en va, les autres sont déjà parti.
- Tu t'es régalé ma salope, t'aimes vraiment ça !
- Je ne peux pas dire le contraire, je ne me suis jamais fait fister comme ça et je ne me suis jamais fait fouetter comme ça, très bon !
- Donc tu aimes être mal traité.
Et ce disant, il m'attrape me fait mettre à genoux contre son fourgon, avec ces pieds, m'écarte les cuisses et voit que je commence à bander alors il me choppe les tétons les pince jusqu'à ce que je bande vraiment bien puis me caresse la queue avec sa semelle et la coince par terre il appui vraiment, j'ai les larmes au yeux, il me fourre sa bite dans la bouche, ne me lâche pas les tétons et me défonce brutalement la gorge, c'est terrible j'ai mal mais je bande quand même. Il enlève son pied, alors je le suce de bon cœur et quand il jouit je bande de plus belle. Bien sur il s'en rend compte.
- Attends c'est pas fini.
Il ressort les pinces les pose fermement et avec un lacet les attache au retro du fourgon je suis sur la pointe des pieds les seins tirés vers le haut.
- Branle toi
J'obéis, bien qu'il soit dur de garder l'équilibre.
- Tournes toi sur le coté, continues
Il prend un gode dans le camion, cherche ma chatte, la trouve sans difficulté et me gode sans douceur, j'ai mal mais c'est bon ! je jouis très vite pas aussi fort que tout à l'heure mais c'est bien quand même.
- Si on se recroise, tu es à moi que tu le veuilles ou non. Salut !
Trois mecs qui ont assisté à la scène de loin, s'approchent. J'essaie d'atteindre ma voiture mais ils me rattrapent et m'entraînent vers les bancs un peu plus haut,
Tu ne vas pas te tirer comme ça, tu nous vides les couilles et on te laisse.
J'essaye de résister, je me débats, un des types me tire deux gifles, je comprends que je vais y passer, je ne me suis jamais fait violer, je ne réfléchis pas et résiste mais je ne peux pas grand chose. A deux il me plaque la tête sur un banc fesses en l'air jambes tendues et écartées et le troisième me plante sa queue dans le cul et me défonce violemment et rapidement se vide.
Je ne résiste plus, un des deux autres sort sa queue, il est assis sur le banc, il me tire vers lui et me met sa bite dans la bouche pendant que le troisième me baise, rapidement il jouit.
Le dernier se relève et me fait mettre à genoux dos contre le bancs les bras derrière l'assise du banc, je suis bien cambrée. Il se met à genoux sur le banc les jambes de chaque côté de moi et me fourre sa bite dans la bouche il est violant, sa queue s'enfonce dans ma gorge. J'entends des voix, il y a des spectateurs. Je commence à apprécier cette bite donc je participe je le suce profondément, ça lui plait, il accélère et je bande de nouveau je sens que les spectateurs se rapprochent, une bouche s'empare de ma bite et me suce goulument, des mains me caressent. Mon dernier violeur me décharge sur le visage et se barre. Je me retrouve bien cambrée un mec me suce plutôt bien et quatre autre mecs sont autour de moi et se paluchent, je les regarde faire en me massant les tétons, je suis une vraie salope, je ne peux pas résister à une queue. Ils finissent par me couvrir de sperme je ne résiste plus, je sens le plaisir monter et je décharge dans cette bouche accueillante.
Tout s'arrête, les mecs se barrent, je me relève et regagne ma voiture toute ruisselante de sperme.
C'est fini pour cette nuit, il est cinq heure le jours se lève, je suis rassasiée !
C'est fini pour cette fois, mais je reviendrai.Fabienne la pute
bdxcandice@gmail.comBonjour Madame Fabienne
Pour resumer ma semaine, suite a mon précédent mail, chaque jour je me suis nourri de video porno, gang bang, excitation diverse, maintenir en quelque sorte la chaleur en moi.Visite sur trav...site de rencontre avec discutions multipled, et surtout mentionnant, mes envies pour mon vendredi soir de libre.Cela plusieur fois par jour.Pour exciter encore plus l'internaute, mercredi soir, je commencais ma préparation, en faisant une cam en direct, montrant le rasage de tout mon corps, jambes, torse, sex etc... operation "plus de poil", cagoulé comme a mon habitude.De nombreux commentaires plus chauds les uns que les autres.Certains profil m'accostant en privee.Les discutions avec les hommes proches furent plus abouties.Un speudo, cheval ne manqua pas de retenir plus mon attention, ainsi que d'autres, mais lui, m'envoyant directement une video, et qu'elle queue, un engin de 27 cm, sur un corps de jeune hommes, se branlant sur mes photos et ma cam en direct.Son accroche " whoua, on te croise ou toi ?"Ma reponse "sur bordeaux vendredi soir en exhib ici, ensuite surement offerte ".
Le vendredi venu, je loue une chambre sur bordeaux un F1 minable mais permettant de me changer, de me préparer, de m'isoler pour l'exhibition par cam.Pendant le tournage, les differents echanges, le jeune homme, dit "cheval", reviens à la charge, me demandant de venir le rejoindre dans la meme tenue que le direct, avec insistance, et le rendez-vous est pris.Echange d'adresse, je devais prendre ma voiture pour le rejoindre, une ville proche de bordeaux, saint jean d'illac, sortir de l'hotel en femme, et rouler ainsi je dois l'avouer une premiere pour moi. Mélange de peur d'excitation.J'arrive a l'adresse, maison assez isolée, touchant un bois, un noir profond, la porte s'ouvre comme si il attendait mon arrivée, la lumiere interieur basse tamisée, je n'ose le regarder je baisse la tête, entre, il ferme la porte et me dit "à genoux salope".Mon coeur s'accélère et m'exécute sans réfléchir. Il ferme la porte a clé, me met un collier, une laisse, restant derriere moi "ce soir tu es ma salope, tu obeis, a quatre pattes", je me retrouve a marcher ainsi dans le couloir jusqu'a la cuisine, dans un silence total.Puis une fois à la cuisine, il me fait mettre debout m'ordonnant de regarder le sol, il me demande de rester ainsi et de plier les bras horizontalement, paume de main vers le haut, puis il pose un plateau ou s'y trouve déjà plusieurs verres et me dit " tu vas nous servir" et commence a me diriger vers une seconde piece.En entrant je vois 5/6 jeunes hommes comme lui, je me retrouve au milieu d'eux, dont le silence m'avait caché cela.Je vous dit pas la peur, mais aussi l'excitation sans que je puisse l'expliquer.Cheval me serre les fesses et me dit, "tu es a nous ce soir, tu veux faire la salope, tu vas y avoir droit", je commence a tourner au milieu d'eux leur proposant des verres, chacun pose sa main sur moi , poitrine, cul, sex, tout le corps sondé d'atouchement.Je me sens une réelle proie, car tous me dévisage, il n'y a pas de bavardage, je suis une truie, comme ils le disent je passe de bras en bras les fermetures eclaires se descendent, les sex se libèrent et se presente a moi, la laisse m'oblige a me plier, me mettre a genoux,je commence le multiple pompage, dans des rires...Je ne me controle pas du tout, exécute, a la chaine , un par un, Cheval sort sa bite, énorme en dernier, j'ai du mal a engoufrer son gland , on me fouille la chatte, me pince les seins ca me rend folle, car mes seins, je contrôle plus rien quand ils sont travaillés.Puis j'entends on l'emmene à la balançoire, je suis relevé puis traîné dehors malgré ce temps humide et froid, je me retrouve en moins de deux sur une balancoire sexuelle la chatte ouvert a toute penetration, la première arrive tres rapidement, et cette queue se vide tout aussi rapidement, trop excitée je suppose, puis la seconde,plus longue, on me présente aux mains d'autres sex, que je dois masturber, on me penche la tête en arrière pour recevoir un nouveau sex.Je ne sais plus ou je suis, qui je suis mais mon profil a vraiment changé, je devient cette catin.Un par un je les recois en moi, Cheval, regarde, exhibe sont enorme sex, je prie en faite pour ne pas recevoir dans la chatte mais juste le satisfaire par ma bouche.Le feu de mon cul commence a être douloureux, son limage fait effet maintenant.Ma bouche retrouve l'enorme gland, je le leche, le pompe , j'avoue lui demander de ne pas me prendre le cul. Il se poste devant moi ensuite, entre mes jambes, se branle et décharge sur mon torse, il me dit " je voulais juste offrir une salope à mes potes allez maintenant barre toi"Il enlève le collier, me dirige vers l'entrée, me met dehors.Quel choc, souillée, du sperme sur moi, je me retrouve a prendre ma voiture et retourner a l'hotel, le plus discretement possible, prendre une douche puis rentrer chez moi,...Quelle soirée, la peur l'excitation, le statue de salope à assumer. Je suis vraiment une nouvelle salope transformée reellement comme telle ce soir quelle surprise. J'espère avoir bien fait, je ressens maintenant être quelqu'un d'autre, rien que de l'écrire ma queue se dresse quelle sensation. -
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